De la poutine et du boulot

Suite à l’interpellation fort légitime d’un certain lecteur ovidé de sa personne, je me fait un plaisir de confirmer que la poutine mangée cette semaine (et dont le fromage est du à la générosité sans limite d’une lectrice de ce lieu – Soit-elle bénie forever dans l’infini divin des Cieux) a été un intense plaisir stomacal.

Le seul point noir a été que je n’ai point trouvé de sauce brune et qu’il a fallu que je me rabatte sur de la sauce aux échalotes, qui a néanmoins rempli son rôle sans faillir, avec force, courage et honneur (c’est qui est pour le moins demandé à une sauce de cet acabit).

Ce fut donc un franc régal, lourd, massif, fromageux et kwik-kwikant sous la dent.

D’autre part, j’ai l’immense privilège de vous annoncer que j’exerce depuis hier soir la plus noble des fonctions possibles pour un ancien pvtiste yukonnais: barman (cherchez pas le rapport) dans mon lieu de débauche favori, où j’ai la satisfaction de travailler depuis hier soir pour une durée encore indéterminée (d’un week-end à l’Eternité). C’est donc une suite logique à mes expériences irlandaises, savoyardes et canadiennes ainsi qu’une nouvelle ligne sur mon curriculaoume vitaé.

Ce sera donc tout pour le moment, en attendant d’avoir des nouvelles des TNO qui pourraient bien devenir, si tant est que cela se confirme, ma prochaine destination canadienne.