Alors que s’ouvre la cuvée 2011 des permis de travail canadiens, des milliers de futurs exilés doivent baver d’envie et d’excitation devant leur écran, tentant de déjouer les pièges machiavéliques crées par l’Ambassade.
Il faut dire qu’il devient de plus en plus tentant pour le quidam moyen, en ces temps de marasme sociologique, d’aller tenter la grande aventure outre-atlantique du côté de chez les Erables.
Ainsi, ils marcheront sur nos pas, de Montréal à Tuk, de Vancouver à Toronto, mangeront dans nos anciennes assiettes, dormiront dans nos anciens lits et boiront nos anciennes bières.
N’était nullement et impossiblement aigri par l’impossibilité de pouvoir postuler à un second PVT, c’est donc avec moult plaisir que je souhaite cependant bon vent à la Génération 2011 !