Sur les routes de Wallonie

La Wallonie en famille, Saison 3

La Wallonie en famille, c’est une histoire d’épisodes, de voyages qui se calent un peu en dernière minute, d’envie de voir et de revoir. En 2019, nous avions découvert Waterloo, Dinant, Namur, Ath et Tournai. En 2020, pour notre seconde épopée wallonne, c’est vers Han, Bouillon, Bligny et Spa que nous sommes allés, avec bonheur, traîner nos guêtres. Alors, pour cette troisième édition, que voulions nous ? Déjà, renouer avec le voyage après la lourde période de la pandémie. Et puis, découvrir des nouveaux coins tout en retrouvant d’autres, que nous avions aimé. Et aussi découvrir une grande ville, un peu folle, pas mal chaotique, définitivement charmante : Liège. On a donc pris nos clics sans se donner de clac, on est montés dans la voiture et, en une poignée d’heures de route depuis Amiens, on a retrouvé notre Wallonie aimée, notre Wallonie adorée : c’est ce que je vous raconte !

Le train-train wallon du CF3V

C’est un train qui part d’une petite gare pour en rejoindre une autre, à travers la campagne wallonne. C’est aussi une poignée de wagons d’antan tractés par une locomotive fumante, un conducteur à casquette qui invite les enfants, une porte ouverte sur la cabine et deux rails qui se côtoient sans jamais se rencontrer, traçant leur chemin vers l’infini. C’est également une ode au voyage lent, ferroviaire, enfumé, un peu chaotique, absolument ponctuel, définitivement délicieux. C’est une façon de se rendre là-bas, à Treignes, dans un Middle of Nowhere aussi étonnant que désuet. C’est enfin l’histoire d’une journée d’automne ensoleillée, fraiche et douce à la fois, une histoire de découvertes et de retrouvailles, une histoire de visites, de voyages pluriels, de rires et de sourires. C’est labellisé #VeryWallonTrip et c’est le Chemin de Fer à vapeur des Trois Vallées, Mariembourg et Treignes !

Avant d’embarquer…

C’était étrange, de rouler vers un autre pays, d’aller vers une frontière, après tant de fermetures, de confinements et de quarantaines. Etrange de se dire que, peut-être là-bas tout au bout du bout du tunnel de la nuit, il y a une petite lumière, fragile, qui indiquait de meilleurs auspices à venir. Etrange mais bon, agréable même, ce petit goût de renouveau, cette impression de retrouver un être cher longuement délaissé à contrecœur, parce qu’il fallait comme ça. Et puis, après une poignée d’heures, on a passé un panneau pour en voir un autre : ça y est, on a quitté la France, à nous la Belgique, à nous la Wallonie, à nous les trains !

Tchou-tchou

Confortablement installés juste derrière la cabine de pilotage, toute la famille sourit. En dépit d’un horaire serré et d’une toute petite montée de stress dans la dernière ligne droite, nous avons quand même réussi à être l’heure. Nous avons jeté un coup d’œil aux locomotives, attendu l’horaire idoine et pris place(s). Doucement, après le rituel coup de sifflet, la sirène retentit, les rouages s’activent et les roues de l’automotrice commencent leurs incessants tours, accélérant tranquillement pour atteindre la confortable vitesse de croisière qui permettra de parcourir les quatorze kilomètres du trajet en une petite demi-heure.


Par la fenêtre, je regarde défiler le paysage de ce coin de Wallonie sis dans la Province de Namur. Les arbres, en bord de voie, arborent de belles couleurs orangées, si typiques de cette période de l’année. Le ciel est bleu et les nuages se font discrets, probablement occupés en d’autres voutes célestes. Je profite autant du paysage que de l’hospitalité inhabituelle du conducteur, dont la cabine est accessible à tous. C’est ainsi que plusieurs enfants sont invités à prendre place à ses côtés, changeant de place de temps à autres (sauf Fils qui, pour une raison inexplicable, à réussir à s’incruster pour toute la durée du voyage aller).


Une fois les arrêts de Nismes, Olloy-sur-Viroin et Vierves passés, nous arrivons sans heurts ni tracas à notre terminus : Treignes. Là, nous avons deux possibilités : soit nous repartons dans quelques minutes soit nous passons la journée sur place, jusqu’à 16h30.


Alors, à votre avis, qu’avons-nous choisi ?

Treignes, la ville des musées

Treignes, un premier novembre : c’est calme. Très, très calme.

En quittant la gare-musée pour nous diriger vers ce que nous supposons être le centre de la bourgade, nous ne croisons quasiment personne. Nous sommes même les seuls, apparemment, assez fous pour ne pas repartir de suite. La rue se fait route puis de nouveau rue. Nous rencontrons un puis deux puis trois musées, levant des sourcils circonspects devant cette accumulation imprévue d’opportunités de visites. Enfin, après une grosse dizaine de minutes (équivalent peu ou prou à un kilomètre), nous débouchons au centre de Treignes. Il est alors midi et une interrogation majeure commence à poindre dans nos esprits, relative à l’intérêt, en fait, d’être restés là au lieu d’être repartis. Puis, après avoir acheté de quoi faire des sandwiches, nous être posés au soleil, sur un banc et avoir réfléchi, on se dit que, finalement, ce serait trop bête de ne pas tenter d’explorer un peu plus, de ne pas donner sa chance à cette petite section de la commune belge de Viroinval (et à ses 600 habitants).

Sachez que l’on trouve, à Treignes, pas moins de cinq musées :

Considérant que nous n’avions qu’un après-midi sur place, nous avons utilisé deux outils surpuissants pour faire un choix : notre envie et les horaires d’ouverture(s). Si les deux coïncidaient alors Bingo, let’s go ! Du coup, nous avons fait au plus simple et sommes d’abord allés à l’Ecomusée du Viroin qui, par un merveilleux hasard, était sis juste à côté de notre spot de pique-nique.

L’écomusée du Viroin

Implanté sur le site de la Ferme-Château de Treignes, il se veut “une illustration du savoir-faire technologique des communautés villageoises, mais également un miroir des évolutions culturelles et sociales qui ont traversé la région de l’Entre-Sambre-et-Meuse depuis deux siècles”. Las, ayant servi la veille de lieu de fête pour Halloween, pas mal d’espaces n’étant pas visitables, devant être remis en ordre pour respecter la muséographie originelle. Du coup, nous avons quand même pu nous balader dans la chouette exposition temporaire du moment, consacrée à la marque de raquettes de tennis Donnay. Très intéressante et chouettement illustrée par de nombreuses pièces, elle offre un regard pertinent et inattendu sur une drôle d’aventure industrielle !

Autre activité plutôt surprenante : la décoration de sabots miniatures, une activité en lien avec une démonstration de sabotier. Les enfants s’en sont donnés à cœur joie (et leurs sabots trônent sur la cheminée du salon). L’écomusée du Viroin propose également une balade bucolique sur son domaine, à la découverte du machinisme agricole au travers de planteuse à patates, extirpateur, râteau-faneur et autres tracteurs exposés en extérieur.

Bilan, en considérant que nous sommes loin d’en avoir fait le tour : très sympa et totalement adapté à un public familial !

Le musée du Malgré-Tout

Des squelettes, des armes préhistoriques, des monnaies de l’Antiquité mais aussi des sites archéologiques, le tout implanté dans les locaux d’une ancienne centrale électrique : c’est le musée du Malgré-Tout, remarquable par les richesses des collections exposées et par la mise en scène globale des lieux. Ici aussi, notre visite fut teinté d’Halloween et ce fut vraiment drôle de voir les espaces extérieurs transformés en cabane de sorcière et cimetière mystérieux.

Nous avons notamment apprécié la gentillesse de l’accueil, la généreuse documentation mise à disposition (de même que le masque offert à Fils en passant). On peut facilement passer deux heures, en prenant son temps, à explorer intérieurs et extérieurs, qui sont aussi fascinants l’un que l’autre.

Enfin, de nombreuses animations sont proposées le week-end !

Les infos pratiques pour le CF3V et les musées !

Le chemin de fer des 3 vallées fête en 2023 ses cinquante ans ! Bien loin d’être à la retraite, cela est l’occasion de bien des réjouissances tout au long de l’année. Toutes les informations (horaires, réservations, tarifs et programme des festivités) sont à retrouver sur le site internet. Pensez bien à réserver (le cas échéant) et à arriver un peu en avance quand même, histoire de vous éviter les mauvaises surprises. Le parking est relativement proche de la gare et le voyage ferroviaire détendant au possible !


Un bon plan, si vous êtes détenteurs du Museum Pass : les entrées pour le Malgré Tout et l’Ecomusée sont comprises dans l’offre. Si vous ne possédez pas la carte (ce qui est dommage parce qu’elle donne accès à plus de 220 musées dans toute la Belgique pendant un an et ce pour 59€).

Où dormir et manger dans les alentours du CF3V ?

Une adresse absolument délicieuse, à environ 30 minutes de la gare du CF3V : les Sorbiers. C’est grand, classieux, avec un super restaurant, un grand parc et un accueil remarquable. Très chaudement recommandé, sur les bords de la Meuse, avec des salles de jeux dédiés aux enfants, des espaces aménagés pour eux et même la possibilité de les faire dormir en couchage castor (oui, oui). Les prix vont de 75 à 215€ la nuit, en fonction du logement et de la période de venue (haute saison, basse, semaine ou week-end). Petit bonus : on y mange très bien.

Bonus spécial Halloween à Treignes

Se mettre au vert dans le Parc Chlorophylle

“Le Parc Chlorophylle, c’est un parc forestier récréatif, pédagogique et artistique de 9ha au cœur de la forêt ardennaise, entre la Baraque de Fraiture et la vallée de l’Ourthe. Un sentier pédagogique de 2km, une belle passerelle dans la cime des arbres ainsi que des plaines de jeux thématisées permettent de découvrir la forêt tout en s’amusant.”

Ca, c’est ce que propose, dans les mots, le Parc Chlorophylle. Être forestier, récréatif, pédagogique et artistique, en plus de permettre de se balader dans les arbres et d’offrir de quoi jouer aux enfants. Mais, dans la réalité de la vraie vie réelle, est-ce que cela se vérifie ?

Ben oui, totalement !

Pendant une journée (de l’ouverture jusqu’à la fin de l’après-midi), nous avons profité pleinement de tout ce que le Parc Chlorophylle propose, dans un très chouette (voire même hibou) cadre verdoyant. On y trouve donc, en effet, un parcours aménagé en hauteur qui permet de voir les choses d’en haut, plein de grands espaces de jeux, des chemins de traverses, des raccourcis, des œuvres disséminées au gré des pas (et plein d’autres surprises).


C’est un petit peu éloigné des axes habituels, très familial et toute la famille a apprécié cette escapade naturelle verte !

Les infos pratiques

Elles sont toutes disponibles sur le site officiel mais, si vous avez la flemme de cliquer, sachez que le Parc Chlorophylle est ouvert du 18 février 2023 au 26 novembre 2023 (avec plein de finesses en fonction des vacances belges et hollandaises), du mercredi au dimanche de 10h à 17h (mais avec des horaires élargis en été : allez voir de vous-même, je vous dis !). Pour ce qui est des tarifs : 8€50 par adulte et 6€50 par enfant (jusqu’à 12 ans). La réservation en haute saison peut être une bonne idée !

Où manger au Parc Chlorophylle ?

Ben, dans la brasserie du parc, voyons ! Petite restauration très sympathique, plus sur le pouce qu’étoilé (et cela n’est pas péjoratif), avec un service souriant et aimable (même en étant débordé par groupes de bambins réclamant des frites). On y trouve une curiosité houblonnée de premier ordre : les bières de la pico-brasserie Patron, brassée avec de la mie de pain ! Le magasin adjacent, le Chloro’s Shop, en propose à emporter, en plus d’un vaste choix de souvenirs locaux.

Se laisser vivre à La Roche-en-Ardenne

On avait un peu de temps à perdre, avant le repas du soir. On avait envie se promener, d’aller voir à quoi ressemblait cette mystérieuse Roche-en-Ardenne, où coulent l’Ourthe et des jours heureux.
Alors, on a pris la voiture, on a trouvé une place et on s’est promenés, entre ici et là. Ce qui ne devait être qu’un court passage est devenu une poignée d’heures douces, paisibles, tranquilles. Nous sommes passés par ce parc, ces ponts, ces jeux. Nous avons vu cette statue, ces tanks, ce château, là-haut. Sans aucun autre but que de profiter, nous avons goûté à une dose imprévue et délicieuse de la dolce vità wallonne. Et c’était, ma foi, absolument parfait !

Que faire à la Roche-en-Ardenne ?

Déjà : vous promener, lever les yeux et prendre le temps de découvrir cette charmante bourgade wallonne ! Ensuite, on trouve un intéressant patrimoine militaire dans le coin, avec notamment le musée de la bataille des Ardennes (l’un des derniers soubresauts allemands de la WW2), ce qui explique le grand nombre de tanks et chars exposés dans la région environnante. Si vous cherchez comment passer une journée là-bas, Corinne propose sa journée : un chouette programme ! Et pour encore aller plus loin, n’hésitez à fouiner sur les sites des différents OTs et syndicats d’initiatives du coin, qui sont listés de par ici.

Où dormir aux alentours de la Roche-en-Ardenne ?

Un petit peu à l’écart de la ville, dans un cadre verdoyant : A la ClaireFontaine ! C’est nature, calme, reposant et on y mange même carrément bien. Attention cependant : à l’heure où j’écris ces lignes, des travaux de rénovation sont en cours : je ne doute pas que le nouveau lieu sera totalement à la hauteur de l’ancien !

Se mouiller pour les Hautes Fagnes

La première fois que nous étions allés dans les Hautes Fagnes, nous étions dans le brouillard. Ouatés. Embrumés. Du coup, on l’avait dit, décidé, décrété : il devait y avoir une seconde fois. Pour retourner à la Brasserie Peak Beer, d’une part et pour explorer le coin, d’autre part, aux côtés d’une guide naturaliste, de surcroît.

Planning parfait, grosse envie familiale, sourires vissés aux lèvres mais…

On s’est pris la drache.

Pas une petite drache juste de passage, hein. Non, la bonne grosse drache à l’ancienne, qui tombe sans s’arrêter et fait rechercher des tutos pour construire une arche en express, histoire d’abriter femme, enfants et blogueurs humides.

Cependant, ce n’est pas ça qui allait nous arrêter, quand même ! Alors, on a mis les bottes, les ponchos, les imperméables, on a sorti les parapluies géants et on a suivi notre super guide pendant une heure de balade. De flaque en flaque, de détours en détours, nous avons découvert l’écosystème local, les particularités géologiques, l’histoire… avant de finir par nous réchauffer autour d’un gargantuesque goûter dans la Maison du Parc !

Où manger dans les Hautes Fagnes ?

Une adresse et une seule : la Brasserie Peak Beer. Non seulement brassent-ils une merveilleuse gamme de bière d’altitude mais ils proposent aussi un chouette restaurant idéal pour se poser avant de partir en randonnée. Définitivement l’une de mes adresses préférées en Wallonie. Gaffe : réservation recommandée.

Que faire dans les Hautes Fagnes ?

Ouvrir grands les yeux, respirer, admirer le paysage… et découvrir le Parc Naturel en réservant une visite aux côtés d’un guide naturaliste ! Vous pouvez également aller visiter la chouette Maison du Parc, avec musée, boutique et brasserie.

Où dormir aux alentours des Hautes Fagnes ?

Un hébergement assez moderne, plutôt bien aménagé, idéal pour rayonner dans les Hautes Fagnes en journée avant de revenir le soir : l’Hôtel Cyrano à Waimes. Pas mal de formules assez intéressantes si vous êtes du genre épicurien.ne et/ou voyagez en vélo (par exemple). Restaurant et brasserie de très bonne facture de par ailleurs.

Une seconde fois au Préhistomuseum

Découvrir et aimer un musée, au point d’y passer quelques heures : c’est la routine. Découvrir, aimer un musée au point d’y passer quelques heures et de vouloir y retourner en famille une seconde fois : ce n’est plus du tout la routine ! C’est plutôt la preuve que le lieu se veut riche, ludique, instructif, attrayant, diversifié, amusant, interrogatif et passionnant. Et bien, tout cela (et bien plus encore) c’est ce qui vous attend au Prehistomuseum, à Flemalle (mais y a pas de bobo).

Pendant une journée entière (car y consacrer moins d’une journée est une hérésie), vous allez pouvoir, en vrac, découvrir les secrets du feu, laisser les enfants jouer, tirer sur un mammouth à la sagaie, vous prendre pour des hommes et femmes de la Préhistoire, vous balader sur un sentier pieds nus, poser toutes les questions que vous voulez, tenter de débusquer un smilodon avec un arc, entrer dans une petite grotte…

Et si cela ne suffit pas, il y a aussi un musée, des stages, des activités saisonnières, une petite ferme, un labyrinthe, de l’art contemporain, le tout dans un site classé.

Vous en voulez encore ?
Allez donc manger au Flint, le restaurant du musée ou fêter l’anniversaire de votre rejeton.

Bref, c’est un immense coup de cœur.

Le Préhistomuseum en pratique

Le Préhistomuseum est ouvert 7/7 mais, attention, en-dehors des vacances scolaires belges francophones, il est fermé le lundi pour les individuels mais ouvert pour les groupes, de 10h à 18 h (durant les vacances, week-ends et jours fériés) et de 10h à 17h les jours de semaine scolaire.

Pour ce qui est des tarifs, comptez de 9€ à 15€ par personne en fonction de votre âge et de 15 à 22€ si vous voulez un billet combiné “expo temporaire et muséoparc”. Si vous réservez votre billet en ligne avant votre venue, utilisez le code promo TRIBU pour bénéficier de 10% de réduction (pour un groupe en 4 et 15 personnes, code officiel du site, je ne touche pas un centime dessus).

Toutes les informations sont à retrouver sur le site internet !

Le bilan du #VeryWallonTrip N°3

Faire un bilan d’un voyage ?
Est-ce vraiment possible ?

De façon objective, bien sur que non. Trop d’éléments divers, une impossible de quantifier, noter, évaluer quoique ce soit. Par contre et cependant, nous pouvons dire ce que nous avons aimé, apprécié, adoré. Ces petits moments qui font naître les sourires. Les attentions spéciales. Ces drôleries qui viennent s’inscrire dans notre mythologie familiale.

Alors, pendant ce voyage en famille en Wallonie, nous avons aimé :

  • Découvrir Liège, la ville de toutes les folies, un peu chaotique, un peu bordélique, définitivement charmante et décalée.
  • Nous promener à la Roche-en-Ardenne, pour du délicieux imprévu, à déguster tout doucement.
  • Retrouver “notre” Wallonie, avec ces sourires, cette chaleur humaine et ses paysages. Un plaisir qui se renouvelle à chaque voyage.
  • Voyager, justement : cet troisième épisode #VeryWallonTrip (sous-titré La Wallonie en famille) était notre premier voyage à l’étranger après le COVID. Nous l’avons apprécié à sa très, très juste valeur.
  • Trouver des bières inattendues et goûter des plats emblématiques du terroir local. C’est chaud, costaud et ça tient bien au corps, la cuisine wallonne !
  • Voir Fils et Pitchoune s’éclater dans les jeux du Parc Chlorophylle, sourire sous la pluie des Hautes Fagnes et jouer ensemble, de temps en temps, entre ici et là. Pas toujours facile au quotidien mais c’est autant dans les moments de confrontation que de joie que l’un et l’autre grandissent (vraiment trop vite d’ailleurs).
  • Les restaurants de Liège. Miom rien que d’y repenser.
  • Marcher pieds nus dans la forêt, sentir les feuilles sous la plante. Petit bonheur oublié.
  • Les rapaces, un matin.

Sur les routes de Wallonie – Bonus photo impromptu

Pour le prochain voyage en Wallonie en famille, je veux

  • Aller à Charleroi. Il y a une balade urbaine qui me fait de l’œil depuis trop longtemps de par là-bas !
  • Mons. Oui, Mons, tout à fait. Pourquoi ? Je n’en sais rien mais Mons (et merveilles).
  • Visiter de nouvelles mines. Il doit bien y avoir quelques unes que nous avons raté.
  • Tester la destination à vélo. Je suis sûr qu’il y a de quoi faire (hein, Madame Oreille !)
  • Être étonné, épaté, séduit, interloqué, intrigué. Et cela tombe bien parce que c’est exactement ce que sait si bien faire ma Wallonie !

Cet article fait suite à la saison 3 de la série #VeryWallonTrip, organisée avec le soutien logistique de Wallonie Belgique Tourisme que je remercie fortementLe contenu éditorial n’en reste cependant pas moins indépendant et soumis à ma seule volonté. Si vous avez aimé cet article, vous pouvez le commenter, le partager et, également, me payer une bière (virtuelle) !

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